Le massif Kata Tjuta vu depuis la base d’Uluru. Les deux sont éloignés d’une quarantaine de kilomètres.
Comme Uluru, Kata Tjuta qui signifie « nombreuses têtes » a aussi un nom anglais : The Olgas.
A l’approche de Kata Tjuta et de sa végétation particulière.
Kata Tjuta avec un éclairage matinal (aspect rose violacé).
Pigeons à crête (Crested Pigeon) sur le parking du point de vue.
Les monts depuis l’aire aménagée pour admirer le coucher du soleil. On peut en effet assister ou rougeoiement du massif comme à Uluru, mais le spectacle n’est pas à notre programme.
Bien que relativement proches l’un de l’autre, le monolithe Uluru et les 36 dômes de Kata Tjuta
n’ont pas la même composition ni le même âge géologique.
En y regardant de près, ces monts sont en fait constitués d’un conglomérat de roches. On prétend qu’ils sont le plus vieux massif montagneux du monde. Le plus haut dôme culmine encore à 560 m (soit 200 de plus que le monolithe).
Plusieurs randonnées sont possibles. C’est celle de 8 km qui me tente : la Vallée des Vents (Valley of the Winds).
Nous avons pris le pique-nique et beaucoup d’eau avec nous. L’ombre d’un eucalyptus est l’endroit idéal pour pique-niquer dans un cadre fabuleux.
Perruches et perroquets évoluent au dessus de notre tête.
Les «pinsons zèbre» (Zebra Finch) qui vivent en bande mobile dans le désert profitent des miettes.
La Vallée des Vents.
Plus loin sur le sentier
La lumière rasante donne une autre couleur aux rochers et à la végétation.
Après Uluru et Kata Tjuta, j’avais prévu d’aller à un très bel endroit montagneux appelé Kings Canyon. Cela faisait faire un «détour» de 180 km (et autant au retour). Je n’ai pas eu le courage de faire tous ces kilomètres qui plus est dans le désert. Nous sommes donc rentrés à Alice Springs (450 km). L’occupation n’y manquerait pas.
Une pose le long de la route à l'approche d'Alice Springs : rivière et son sol asséché.